La préservation éco-humaine de concert avec le socio-urbanisme.
Camarades,
En tant qu’enseignant,
J’ai appris que les étudiants oublieront ce que vous avez dit, oublieront ce que vous avez fait, mais les étudiants n’oublieront jamais ce que vous leur avez fait ressentir.
Espérons que COVID19 sera le jalon pédagogique de la renaissance humaine sur une planète surpeuplée. Et non le calme avant la tempête.
Nous n’obtenons pas l’harmonie quand tout le monde chante la même note. Seules les notes différentes peuvent s’harmoniser et être de concert. C’est la même chose avec les gens et leurs droits à la manifestation, ils doivent être en harmonie et de concert pour en arriver à une conclusion universelle, ajustable et durable.
La conservation est l’utilisation et la gestion durables des ressources naturelles, y compris la faune, l’eau, l’air et l’oxygène. La préservation, contrairement à la conservation, tente de maintenir dans leur état actuel des zones de la Terre qui sont jusqu’à présent gardés intactes par les humains.
Acceptons, comprenons et absorbons ces enseignements de mère nature, et appliquons-les au développement socio-urbain, créant ainsi un remède naturel autour de nous, nous gardant en santé sans le savoir.
Un bon exemple est celui de l’écosystème au coin du boulevard Lucerne et du chemin Fraser. Développons un écosystème urbain durable. Abstenons-nous de créer un projet réactif pour un profit instantané à l’encontre de l’humain durable.
Les collaborateurs,
Micheline Lemieux, présidente de l’APA
Luc L. Paquette, prof, chercheur et lobbyiste-conseil
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